❤️ Pourquoi on a décidé de créer les culottes menstruelles !
Tout a commencé par une image.
Une capture d’écran partagée sur les réseaux sociaux, où une femme racontait, la voix tremblante, qu’elle avait arrêté d’utiliser les serviettes hygiéniques… parce que certaines personnes les utilisaient pour “marabouter”, pour jeter le mauvais sort.
Cette histoire a bouleversé des milliers d’internautes.
Derrière le rire gêné ou l’incrédulité, il y avait surtout un malaise : comment, en 2025, le corps des femmes et leurs règles peuvent encore être entourés de peur, de honte et de superstition ?
1. Quand la honte devient un poids
Depuis des générations, les femmes cachent leurs règles.
Elles les dissimulent derrière des chuchotements, des sachets plastiques, des serviettes enroulées dans des papiers.
Les règles sont naturelles, mais on les a rendues taboues, sales, presque honteuses.
Et quand certaines ont voulu changer cela — adopter des serviettes lavables, plus écologiques et économiques —, la société a encore trouvé un moyen de juger, de détourner, de ridiculiser.
💬 “On va utiliser ton sang contre toi.”
💬 “Lave bien ta serviette sinon quelqu’un pourrait te faire du mal.”
Ces phrases, on les a toutes entendues quelque part. Et pourtant, elles révèlent une réalité douloureuse : beaucoup de femmes vivent encore leurs menstruations dans la peur, l’angoisse ou la culpabilité.
2. Pourquoi les protections traditionnelles ne suffisent plus
Pendant longtemps, les femmes n’avaient d’autre choix que d’utiliser des serviettes hygiéniques jetables, parfois même des morceaux de tissu lavés à la main.
C’était la seule option pour se protéger — mais à quel prix ?
💧 Ces tissus devenaient vite un fardeau quotidien.
😔 Leur aspect visuel renforçait l’idée que les règles étaient quelque chose de “sale”, qu’il fallait cacher.
🌬️ Ils pouvaient dégager des odeurs désagréables ou provoquer des irritations.
⚡ Et surtout, ils exposaient les femmes à des croyances nocives : dans certaines cultures, le sang menstruel restait associé à la honte, voire à la sorcellerie.
Ces réalités ont longtemps enfermé les femmes dans le silence et la peur.
Alors, il a fallu imaginer une solution nouvelle : une culotte menstruelle réutilisable, mais discrète, moderne et libératrice — une lingerie pensée pour la femme d’aujourd’hui.
3. La naissance d’une idée : une culotte qui redonne confiance
De ce constat est née la culotte menstruelle.
Une protection réutilisable, mais invisible.
Une manière de vivre ses règles sans peur, sans gêne et sans honte.
Elle ne ressemble pas à une protection.
C’est une vraie lingerie, douce, absorbante, qui ne trahit rien.
Elle se lave facilement, se garde longtemps, et se porte avec fierté.
C’est une réponse moderne à un problème ancien : celui de la liberté des femmes face à leur corps.
Avec la culotte menstruelle, plus besoin de cacher, de se justifier ou de craindre ce que les autres vont dire.
On reprend le pouvoir, simplement.
Découvre la culotte menstruelle Culottissime.
4. Le symbole d’un changement
La culotte menstruelle n’est pas qu’un produit.
C’est un symbole.
Celui d’une génération qui dit :
“Nos règles ne sont pas un fardeau. Elles sont une part de nous, naturelle et belle.”
Chaque culotte lavable, c’est une victoire silencieuse contre la honte.
C’est une manière de dire aux jeunes filles, aux femmes, à nos mères :
“Tu n’as pas à avoir peur de ton sang. Tu n’as pas à avoir honte d’être une femme.”
💬 En conclusion
Cette capture d’écran, cette histoire qui a choqué Internet, nous a ouvert les yeux.
Tant qu’une femme aura peur de laver sa serviette parce qu’on pourrait “lui faire du mal”, c’est que nous avons encore du travail à faire.
Les culottes menstruelles, c’est plus qu’une innovation textile.
C’est un acte de libération intime et collective.
Un moyen de dire haut et fort :
✨ Nos règles ne nous définissent pas. Mais la manière dont nous choisissons de les vivre, oui.
Découvre la culotte menstruelle Culottissime.